Start-ups françaises, le retour aux fondamentaux – L’interview de Fabien Billet dans Le Nouvel Economiste

Le financement des entreprises de la French Tech traverse une profonde mutation, pour des raisons à la fois conjoncturelles et structurelles. Si quelques secteurs comme l’IA ou les greentechs continuent d’attirer les investisseurs, les levées de fonds deviennent plus complexes, poussant les start-ups vers un modèle de « slow growth » axé sur la rentabilité. Les disparités se font également sentir selon leur maturité : les premiers stades de financement restent soutenus grâce aux business angels, tandis que les séries B et C se raréfient.

Tel est le constat dressé dans le dossier spécial publié par Le Nouvel Economiste, en ce début d’année.

Notre associé, Fabien Billet, a partagé son analyse du marché dans cet article, en précisant notamment que « les start-ups proches de la rentabilité, opérant sur des marchés robustes et à fortes marges, parviennent à se financer à des conditions très favorables.«